OMS confirme que l’utilisation du téléphone mobile n’augmente pas le risque de cancer du cerveau


Une étude approfondie commandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a conclu que l’utilisation du téléphone mobile n’augmente pas le risque de cancer du cerveau. Cette recherche, l’une des plus grandes et des plus complètes jamais réalisées sur le sujet, apporte une grande tranquillité d’esprit à des millions d’utilisateurs de téléphones mobiles dans le monde entier.

L’étude a analysé des données provenant de plusieurs pays, en examinant les habitudes d’utilisation à long terme des téléphones mobiles et leur lien potentiel avec le cancer du cerveau. Elle a impliqué un groupe diversifié de participants sur plusieurs années, évaluant attentivement différents niveaux d’exposition aux radiations radiofréquences  émises par les appareils mobiles.

Les résultats n’ont montré aucune preuve statistiquement significative liant l’utilisation du téléphone mobile à un risque accru de développer des tumeurs cérébrales, qu’elles soient malignes ou bénignes.

Dr. Maria Neira, Directrice du Département de la Santé Publique, de l’Environnement et des Déterminants Sociaux de la Santé à l’OMS, a souligné l’importance de l’étude : « Cette recherche fournit des preuves cruciales que les téléphones mobiles sont sûrs pour un usage quotidien. Bien qu’il soit essentiel de continuer à surveiller les effets à long terme sur la santé, les données actuelles ne montrent aucune raison de s’inquiéter. »

Malgré ces résultats, l’OMS conseille aux gens de continuer à utiliser les téléphones mobiles avec modération et de suivre les consignes de sécurité de base, telles que l’utilisation de dispositifs mains libres ou du mode haut-parleur, pour minimiser l’exposition aux radiations radiofréquences.

L’organisation encourage également des recherches supplémentaires pour surveiller les éventuels impacts sur la santé à long terme.

Cette étude représente une étape importante dans la compréhension des implications sanitaires des technologies modernes, en apaisant les craintes tout en soulignant l’importance d’une enquête scientifique continue.

 

 

 

 

 

AVEC KAYITESI Ange


IZINDI NKURU

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